• Les dessous chics
    C’est ne rien dévoiler du tout
    se dire que lorsqu’on est à bout
    c’est tabou

    Les dessous chics

    c’est une jarretelle qui claque
    dans la tête comme une paire de claques

    Les dessous chics

    ce sont des contrats résiliés
    qui comme des bas résillés
    ont filé

    Les dessous chics

    c’est la pudeur des sentiments
    maquillés outrageusement
    rouge sang

    Les dessous chics

    c’est se garder au fond de soi
    fragile comme un bas de soie

    Les dessous chics

    c’est des dentelles et des rubans
    d’amertume sur un paravent
    désolant

    Les dessous chics

    ce serait comme un talon aiguille
    qui transpercerait le  cœur des filles...

     
    Paroles et musique de Serge GAINSBOURG

      

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     Les dessous chics
    C’est ne rien dévoiler du tout
    se dire que lorsqu’on est à bout
    c’est tabou

    Les dessous chics
    c’est une jarretelle qui claque
    dans la tête comme une paire de claques

    Les dessous chics
    ce sont des contrats résiliés
    qui comme des bas résillés
    ont filé

    Les dessous chics
    c’est la pudeur des sentiments
    maquillés outrageusement
    rouge sang

    Les dessous chics
    c’est se garder au fond de soi
    fragile comme un bas de soie

    Les dessous chics
    c’est des dentelles et des rubans
    d’amertume sur un paravent
    désolant

    Les dessous chics
    ce serait comme un talon aiguille
    qui transpercerait le  cœur des filles...
     
    Paroles et musique de Serge GAINSBOURG

      

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  • Le déjeuner terminé, elle se lève et apparaît campée sur ses talons hauts, vêtue d'un jean qui moule ses formes, tellement que sa petite culotte lui rentre dans son minou, avoue-t-elle. Une veste de tailleur recouvre un chemisier laissant entrevoir sa poitrine généreuse. Elle doit rejoindre la réception de l'hôtel afin de reprendre son service. Je l'embrasse et je sens qu'elle ne veut pas aller travailler sans que je me sois occupé d'elle. Sa tenue de femme d'affaire ne mérite pas d'être enlevée tant elle est sexy. Je l'invite à se mettre en position de lionne sur le canapé. Je lui caresse les fesses et je sens sous mes mains sa croupe se tortiller. Je lui baisse le pantalon jusqu'aux genoux et plaque mon visage sur son intimité. Je passe ma langue autour de l'entrée de sa fleur, puis autour de son pistil comme elle aime à le dire. Je dessine le signe de l'infini et je sens que sa fleur s'ouvre totalement à moi. Elle voudrait que ce moment ne s'arrête jamais. Je passe un pouce afin d'élargir les pétales, puis le second. Je continue à butiner sa fleur qui est dorénavant grande ouverte, prête à recevoir mon insecte. Je me positionne au dessus de sa croupe tel le roi de la jungle prêt à bondir sur sa proie. Je carresse les doux pétales à l'aide de ma tige. J'entre en elle vigoureusement et après quelques coups de reins, son pollen a fait place à ma production de miel. Il faudra quelques minutes afin que la fleur se referme et que les couleurs printanières de son visage s'estompe pour qu'elle reprenne son service.

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  • Un site avec de belles photographies et un article qui recense 200 mots pour définir le minou, l'atelier de vénus, le barbu...

    Le marquis de la rose noire

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  • Je bougonne depuis plusieurs jours... je ronge mon frein dans mon coin. Je la croise dans la cuisine et me dis que cela ne peux plus durer et que nous devons parler. La demande est simple : un peu plus d'attention de sa part, qu'elle prenne les choses en main et que je ne sois pas toujours le déclencheur de nos ébats. "Je veux que nous nous amusions ensemble, je n'ai pas envie d'aller voir ailleurs, je veux être ton esclave". Une forte excitation nous envahit et nous montons sans rien nous dire dans la chambre. Je me mets à quatre pattes et elle sort une cravache. Sans sommation, elle me frappe violement les fesses à plusieurs reprises. Je serre les dents, une douleur envahit mon postérieur et je n'ose pas l'arrêter de peur qu'elle ne veuille plus recommencer un jour. HA! C'est ce que tu veux... TIENS, TIENS, TIENS, ces mots accompagnent chaque coup de cravache. La douleur fût encore plus forte quand elle arrêta de frapper de sa main lourde. J'avais la sensation d'être assis sur de la braise. Elle desserra ma ceinture et baissa mon pantalon. Elle poussa un cri de surprise en voyant les marques rouges légèrement violacées laissées par son travail. "Mais je croyais que tu n'avais pas mal, donc je ne me suis pas arrêtée". Elle m'avoua plus tard que ce qui l'excitait était de m'entendre gindre de douleur.

    Je lui ai demandé si je pouvais me lever. Elle acquiessa et me dit : "baise moi". Je passais la main dans sa culotte et constata que cet épisode l'avait énormément éxcité au point qu'elle était toute mouillée. Je l'ai positionnée en levrette sur le lit, lui ai baissé son jean et l'ai prise fougueusement pour venir en elle rapidement dans un râle de bonheur mutuel.

    Depuis ce jour, je n'ai qu'une idée en tête : Quand vais-je prendre ma prochaine correction?

    Sébastien - Les dessous chics 

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  • Je m'enferme dans un petit lieu et remonte ma jupe droite jusque mes fesses, me voilà en dessous dentelle, bas résilles et talons, au lieu de reprendre mes esprits mon intérieur me demande un peu de volupté et je me surprends à passer une main timide sous la dentelle. j'y découvre une chaleur intense et une humidité rarement égalés, je pose un doigt délicat sur les lèvres qui ne demandent que ça, le bouton précieux est déjà bien alerte et ne demande qu'à s'exprimer...

     je me caresse doucement, puis un peu plus fort, au fur et à mesure de mes caresses tout mon corps se mets en alerte, mes reins se cambrent, mes seins, pourtant petits, se gonflent et se durcissent de plaisir, la musique allant fort je peux laisser échapper des soupirs de plaisirs...

     J'imagine que ces doigts qui entrent en moi sont les tiens... Je me surprends à aller en moi de plus en plus loin et de plus en plus fort et je décuple le plaisir en ajoutant au fur et à mesure un doigt supplémentaire...

     Mon corps s'extasie de ce moment de plaisir solitaire et m'apporte, après quelques minutes intenses, un calme relatif...

    http://blog.nrj.fr/arnalito

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