• Retraite anticipée

    Aurélie était une très belle jeune femme d'un mètre soixante-quinze aux courbes harmonieuses. Elle aimait porter des tenues légères en été, sentir le vent passer entre ses jambes caresser son intimité. Se prendre pour une petite garce aux yeux des hommes alléchés par son parfum. L'hiver, elle aimait porter des manteaux de fourrures avec pour seuls accessoires un porte-jarretelles et des bas coutures. A 28 ans, elle possédait des seins parfaits n'ayant pas encore subit l'assaut de la bouche d'un nourrisson affamé. Son homme aimait à se délecter de son abricot gorgé de plaisir. C'était un grand brun, sportif et puissant qui n'avait pas de mal à la soulever pour la prendre vigoureusement contre un mur.
    Rendez-vous était pris à la maison de retraite de Creil. Les finances du jeune couple étaient au plus bas et Christophe avait pris la décision de demander une petite aide de son oncle Paul. Cet homme trapu avait travaillé durant des décennies sur des plateformes pétrolières un peu partout dans le monde. A 65 ans, il en imposait encore du haut de ses 1,85m et de ses 100 kg. Un ventre avait pris la place des muscles, mais ses mains démontraient qu'il avait encore de la ressource.
    - Tu devrais mettre un porte-jarretelle et une jupe. Cela penchera en notre faveur quand il devra signer le chèque.
    - Tu crois peut-être que je vais m'abaisser devant ce porc, ce pervers.
    - Si tu veux t'acheter une nouvelle garde-robe, tu peux bien faire un petit effort.
    L'oncle Paul vit le jeune couple traverser le parc dans sa direction. La vue d'Aurélie légèrement vêtue lui rappela de bons, de vieux souvenirs. Il aimait la presser contre lui quand il lui faisait la bise, prétextant son âge avancé et qu'il ne lui ferait plus beaucoup de mal. Elle ne supportait pas son odeur de vieux machin que l'on aurait sorti d'un placard pour sa promenade dominicale. Connaissant le motif de la venue de son neveu, il les pria de le suivre dans sa modeste chambre. Aurélie s'asseyait sur le lit. Après que Christophe eu expliqué de vive voix à son oncle ses problèmes d'argent, Paul sortit son carnet de chèque de son petit bureau devant lequel il était assit. Il annonça la somme de 1000 euros. Le déchirement du papier rompit le silence.
    - Voilà mon grand, dit-il en se levant pour faire face à son neveu resté debout.
    - Merci tonton Paul.
    Christophe se retourna pour rejoindre la porte, mais l'oncle Paul le retint par le bras d'une main ferme.
    - Tu me prends pour un abruti... Tu crois peut-être que tu vas partir comme ça.
    Il se tourna vers Aurélie et sortit son engin mou devant la tête de celle-ci. Les regards du jeune couple se croisèrent, mais vu la surprise aucun mot ne sortit de leur bouche. En revanche, une chose devait entrer dans celle d'Aurélie. L'oncle Paul saisit vigoureusement sa tête d'une de ses grosses mains et plaqua sa bouche contre son pubis.
    - Tu vas me sucer salope.
    Elle se débâta, regarda son mec en lui demandant du regard de stopper cela.
    - Tonton, arrête tes conneries...
    Sans même lui parler, le message était clair : Elle ne fait rien = Tu me redonnes mon chèque.
    Devant le manque de réaction de Christophe, elle comprit qu'elle n'avait pas le choix. Elle prit l'oncle Paul en bouche. Son membre se gonflait progressivement en elle. A chaque coup de rein, il enfonçait sa queue jusqu'à la garde alors qu'elle prenait du volume. Aurélie laissa échapper des larmes. Etait-ce des larmes dû à la tristesse ou du fait que le braquemart de l'oncle frappait sa glote?
    Quand il banda bien dure, il poussa la gamine sur le lit et souleva sa jupe pour le retirer sa petite culotte. Il la porta à son nez et pris une grande bouffée d'air. Elle essaya d'opposer une résistance quand il lui écarta les cuisses, mais elle comprit qu'elle ne pouvait pas lutter. Il s'approcha pour la pénétrer sur le bord du lit quand Christophe lui posa la main sur l'épaule.
    - Tonton, tu vas quand même mettre un préservatif?
    L'oncle Paul se releva, se dirigea vers le bureau, pris son carnet de chèque et après avoir griffonné quelques chiffres, jeta le morceau de papier au visage de son neveu avant de reprendre sa place.
    - Et maintenant avec 10 000 euros, tu fermes ta gueule et tu ne me fais plus chier.
    Christophe regarda le spectacle affligeant, croisant le regard noyé d'Aurélie de temps à autre. L'oncle Paul vint rapidement dans le vagin à peine humide de la soumise. La décharge fût abondante et interminable pour la jeune femme. L'oncle se releva, jeta la petite culotte sur le visage d'Aurélie.
    - Cassez vous!
    Il retint Aurélie par le bras. Et toi, je t'attends la semaine prochaine à la même heure.
    Arrivés chez eux, elle se réfugia sous la douche et y resta un long moment en pleurant, se sentant sale en train de se vider du sperme de ce vieux pervers.
     
    Une semaine plus tard, Aurélie avait remis la même tenue et attendait le retour de Christophe.
    - Tu fais quoi? demanda t-il
    - J'y vais!
    - Tu vas où?
    - Je vais à notre banque.
    - Tu n'es pas obligé de faire cela.
    Elle sortit de l'appartement et Christophe la suivit.
    - Je viens avec toi.
    Il ne voulait pas assister de nouveau à ce spectacle écoeurant et la laissa aller seule dans la chambre du gros dégueulasse. Arrivée dans sa chambre, son dégoût fût multiplié par trois en voyant deux amis grabataires de l'oncle attendrent sagement sur le lit. Ils se levèrent et firent tomber leur pantalon et leur slip sur les chevilles. L'oncle Paul s'approcha d'elle en lui tendant un chèque de 30 000 euros.
    - Je n'ai plus rien à perdre ma belle et toi, tu as tout à y gagner.
    Elle se mit à genoux devant ses cochons pervers et dû lutter longtemps avec ses mains et sa bouche afin d'obtenir des érections correctes de ces vieilles extrémités fripées.
    L'oncle lui ordonna de se coucher sur le lit et après lui avoir arraché sa petite culotte il ouvrit les cuisses de la belle aux bêtes. Elle s'exécuta. Ils se déchargèrent en elle de salves de sperme énormes après quelques va et vient. L'ancien, à peine remis de ses émotions, la releva par la main, lui jeta une nouvelle fois son dessous à la figure et lui indiqua la sortie.
    - A la semaine prochaine, ma belle.
    Arrivée dans la voiture, Christophe se jeta sur elle et quand il mit sa main entre ses cuisses, il sentit qu'une énorme quantité de foutre chaud sortait de sa chatte.
    - Mais quel dégueulasse.
    Elle lui tendit le chèque et il comprit que l'oncle Paul savait rassembler les troupes.
    - Mais quelle pourriture.
    Enervé, il baissa son pantalon, passa au-dessus du levier de vitesse en pivotant sur lui-même pour faire face à Aurélie et se retrouver entre ses cuisses. Malgré son dégoût, cela lui avait provoqué une érection intense. Il pénétra dans ce trou rempli de liquide séminal. Des bruits abjectes accompagnaient les va et vient. Ils vinrent rapidement ensemble dans un cri mélangeant l'orgasme à la haine. Ils restèrent longuement dans cette position avant de retrouver leur esprit. Rentrés chez eux, ils plongèrent dans un bain chaud. Tout ce mélangeait dans leur cerveau; La honte, le dégoût de soi, la jouissance...
    Une semaine plus tard, le couple se rendit à la maison de retraite. Aurélie embrassa tendrement Christophe sur la bouche.
    - A tout à l'heure.
    Elle frappa à la porte de la chambre du vieil oncle. N'ayant pas de réponse, elle entra et découvrit une chambre vide. Elle pensa que l'oncle avait pris ses quartiers ailleurs dans la maison de retraite. Elle interrogea une employée.
    - Excusez-moi, je cherche l'oncle Paul.
    - Vous êtes de sa famille?
    - En quelque sorte, oui.
    - L'oncle Paul est mort jeudi dernier d'un arrêt cardiaque.
    Elle resta stoïque, ne sachant quoi penser. Est-ce que le fait de lui avoir servit de vide-couille aurait été fatale à ce vieux pervers?  Il s'était servit de moi comme son coffre-fort pour y mettre toutes ses économies en liquide.
    Elle se dirigea vers la sortie afin d'annoncer la nouvelle à Christophe quand un, puis deux, puis trois petits vieux la suivirent. Elle sentait les yeux de ces pervers sur ses deux boules qui se frottaient sous sa jupe, ce qui lui provoqua une sensation bizarre. Sous le porche de l'entrée, elle se retourna, les fixa et leur dit :
    - Messieurs, voulez-vous que je mette vos économies au chaud?

     

     

     

     

    Texte écrit d'après le fantasme d'un couple. Ce texte est une fiction et toute ressemblance et patati et patata. Il est toujours bon de rappeler qu'il faut penser à se protéger et protéger les autres.

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