• 15 h 00, petit troquet Parisien, quelques tables installées sur le trottoir longent la vitrine de l'établissement. Accrochés au zinc, trois piliers de bar refont le monde : "Les politiciens tous des enfoirés", "Les commerçants tous des voleurs", "Les femmes toutes des salopes". Dans la rue, une jolie femme effleurant la trentaine s'approche, s'arrête, se retourne et, après un léger moment d'hésitation, s'assoit sur une chaise de tôle froide. En ce mois de mai chaleureux, elle est vêtue d'un chemisier blanc laissant apparaître un magnifique décolleté dégageant une poitrine de taille modeste sur-vitaminée à l'aide d'un soutien-gorge rembourré et aux bretelles tendues au maximum. Une jupe noire englobe à la perfection ses fesses et ses cuisses jusqu'au haut des genoux rendant le croisement de jambes périlleux et d'autant plus risqué que les talons de madame se trouvent à dix centimètres du sol. Un collier de brillant autour du cou et ses cousines les boucles d'oreilles laissent à penser qu'elle est entretenue par quelqu'un. De fines lunettes de soleil cachent son regard. Un chignon parfaitement réalisé, tire ses cheveux blonds en arrière, lui donnant un air très stricte. A peine arrivé à sa table, le serveur repartit avec pour seule mission le mot "café". Elle jeta un regard discret au-dessus de ses lunettes à l'homme qui s'asseyait à la table voisine. Elle se mit à réagir comme une actrice blasée, agacée par la moindre petite chose et ayant bien l'intention que l'on réponde rapidement à tous ses désirs. Elle fit glisser ses mains sur le flanc de ses cuisses pour les arrêter aux genoux. Peut-être était-ce pour effacer les traces des bretelles d'un porte-jarretelle. L'homme s'en amuse, lui sourit, mais elle reste stoïque. Après avoir déposé le café sur la table, le serveur compris, au geste de son nouveau client, qu'il devra refaire le trajet avec un expresso. Souliers vernis, costume sombre de belle facture, chemise blanche, l'homme, d'une quarantaine d'années, de part son sourire sympathique et son air jovial en paraît une dizaine de moins. Plus la comédienne de série B s'énerve et plus le dandy s'en amuse, sourit niaisement. Il porte le café brulant, que le serveur lui a amené dans un ronchonnement, à ses lèvres et se brûle, mais continue de sourire pour ne pas passer pour un imbécile. 

    - Pourquoi souriez-vous comme un imbécile?

    - Pardon?

    - Et en plus, vous êtes sourd!

    - Je souris niaisement peut-être parce que je ne sais quoi dire et faire devant votre beauté.

    Elle ne s'attendait pas à une telle réponse, mais cette phrase lui fit redresser ses épaules et mis en avant sa poitrine accompagnée d'un sex appeal débordant.

    - Vous roulez dans quoi? demanda t-elle.

    - Exclusivement en anglaise.

    Cela devait être la réponse qu'elle attendait. Elle déposa quelques euros sur la table, se leva et laissa la tasse derrière elle, sans même y avoir touché. Elle passa devant le dandy, qui fouilla précipitamment ses poches à la recherche de pièces de monnaie. Ne trouvant pas, il coinça un billet de 10 euros sous la soucoupe et suivi le déhanchement de la pin-up qui ne laisse aucun homme indifférent dans la rue. La démarche est extrêmement inconfortable, mais elle manie le talon aiguille, le porte-jarretelles et la jupe cintrée à merveille. Elle s'engouffre dans un cul-de-sac et entre dans le hall d'un hôtel très coloré, design et tendance qui, manifestement attire une clientèle chic et débridée. Elle passe devant le réceptionniste sans même le regarder. Les souliers vernis lui emboîte le pas. Elle ouvre la porte du minuscule ascenseur, il se précipite derrière elle afin de se comporter en vrai gentleman. Ils se retrouvent en un bref instant côte à côte, blotti dans cette petite boîte. Une petite secousse annonce l'arrêt de la montée et une main pousse virilement la porte afin de laisser le passage libre à la star portant encore ses lunettes de soleil dans les méandres sombres de l'hôtel. Elle stoppe devant le numéro 14.

    - Savez pourquoi vous ne trouverez jamais de numéro 13 dans un hôtel?

    L'homme, timide et un peu bouleversé par ce moment surréaliste, rétorqua d'une voix tremblante :

    - Superstition... Certainement la superstition.

    La porte coupa le feu qui s'était éparpillé sur les joues du dandy. Elle lâcha son sac au pied du lit. La jupe s'élargie au niveau de sa taille, parfaitement dessinée, quand elle baissa la fermeture. Le morceau de tissu rejoignit le sac d'un geste du talon droit. Son chemisier fût le dernier vêtement qui quitta sa peau douce qu'elle eût tant de plaisir à couvrir durant ces dernières heures. L'inconnue jouait à la perfection son rôle d'Emmanuelle. Elle monta sur le lit telle une féline. Elle faisait face à un miroir gainé de bois qui faisait office de tête de lit. Dans le reflet, elle fixa un autre homme assis dans un imposant chesterfield. Il fît signe au dandy qu'il pouvait oeuvrer. Il quitta son habit de gentleman pour se transformer en Adam à la belle musculature et pourvu d'un membre aux belles proportions déjà en érection sur lequel il enfila un préservatif. Il se présenta derrière cette croupe magnifique dont tant d'hommes rêveraient d'avoir devant les yeux. Il la pénétra sans préliminaire. Cela devait faire partie du contrat : pas de cunnilingus, de fellation, de caresses et de baisers. Les coups de reins prirent de la vitesse, le bassin viril frappa de plus en plus fort les fesses de la pimbêche qui en perdit ses lunettes. L'homme du chesterfield avait pris son engin en main. Il se leva et s'approcha des fesses de sa femme afin de répandre sa semence dessus comme pour marquer son territoire. Cela provoqua une réaction d'orgasme en chaîne. Le mari repris sa place alors que le dandy mettait un second préservatif prêt à chevaucher la bourgeoise qui n'avait pas bougée. La seconde croisade fût encore plus mouvementée et elle poussa des cris de plaisir.

    - Tu ne vas pas ameuter tout le quartier, lâcha le mari

    - OH! MAIS IL ME BAISE TELLEMENT BIEN! VAS-Y, ENCORE!

    Le dandy redoublait d'efforts afin de ne pas la décevoir. Alors que le couple d'amants s'éclatait, le mari caressait sa verge sans grand espoir de le voir se regorger de sang. Il regardait la décoration, devinait ce qui pouvait y avoir derrière les rideaux de la fenêtre, mais s'intéressait nullement au spectacle qui se déroulait en live devant lui. Les derniers coups de marteau-pilon accompagnés de râle fît plier les genoux de la belle qui plaqua son ventre sur le lit, les cheveux tout ébouriffés et complètement sonnée. Il se retira, jeta rapidement les préservatifs à la poubelle, s'habilla et sorti de la chambre laissant derrière lui une odeur de sexe bestial et de latex. Arrivé dans la rue, il explosa de rire et n'étant pas superstitieux se dit et espère qu'il vivra d'autres aventures comme celle-ci.

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  • Sa croupe m'attend, arborant un mont de vénus lisse et humide. Elle plaque sa joue sur le lit, s'ouvrant davantage à ma langue. Elle laissa échapper un "Oh Oui, baise moi avec ta langue". Le ton est donné et je ne me fais pas prier. Je pénètre le centre des délices avec ma menteuse. Après m'être délecté, je me relève, écarte mes jambes et je plie mes genoux afin que mon pieu entre en elle. J'appuie sur ses épaules avec mes mains afin de plaquer sa poitrine sur le lit, ce qui la cambre encore plus. C'est alors qu'elle lâche timidement "Défonce moi le cul". Je passe ma main sur son cou et appuie virilement en lui demandant de répéter.

    - Défonce moi le cul

    - Plus fort

    - Défonce moi le cul

    - PLUS FORT

    - DEFONCE MOI LE CUL, Tu es mou là, TU VAS ME DEFONCER LE CUL OUI OU NON?

    Mon bassin frappe violement ses fesses et le rythme s'accélère pour se terminer dans un rodéo endiablé.

    - Tu n'es vraiment qu'une salope

    - Oh, oui, je suis une salope, DEFONCE MOI LE CUL.

    Je finis par trois coups de pieu et je viens au plus profond de ses entrailles.

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  • Le déjeuner terminé, elle se lève et apparaît campée sur ses talons hauts, vêtue d'un jean qui moule ses formes, tellement que sa petite culotte lui rentre dans son minou, avoue-t-elle. Une veste de tailleur recouvre un chemisier laissant entrevoir sa poitrine généreuse. Elle doit rejoindre la réception de l'hôtel afin de reprendre son service. Je l'embrasse et je sens qu'elle ne veut pas aller travailler sans que je me sois occupé d'elle. Sa tenue de femme d'affaire ne mérite pas d'être enlevée tant elle est sexy. Je l'invite à se mettre en position de lionne sur le canapé. Je lui caresse les fesses et je sens sous mes mains sa croupe se tortiller. Je lui baisse le pantalon jusqu'aux genoux et plaque mon visage sur son intimité. Je passe ma langue autour de l'entrée de sa fleur, puis autour de son pistil comme elle aime à le dire. Je dessine le signe de l'infini et je sens que sa fleur s'ouvre totalement à moi. Elle voudrait que ce moment ne s'arrête jamais. Je passe un pouce afin d'élargir les pétales, puis le second. Je continue à butiner sa fleur qui est dorénavant grande ouverte, prête à recevoir mon insecte. Je me positionne au dessus de sa croupe tel le roi de la jungle prêt à bondir sur sa proie. Je carresse les doux pétales à l'aide de ma tige. J'entre en elle vigoureusement et après quelques coups de reins, son pollen a fait place à ma production de miel. Il faudra quelques minutes afin que la fleur se referme et que les couleurs printanières de son visage s'estompe pour qu'elle reprenne son service.

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  • Je bougonne depuis plusieurs jours... je ronge mon frein dans mon coin. Je la croise dans la cuisine et me dis que cela ne peux plus durer et que nous devons parler. La demande est simple : un peu plus d'attention de sa part, qu'elle prenne les choses en main et que je ne sois pas toujours le déclencheur de nos ébats. "Je veux que nous nous amusions ensemble, je n'ai pas envie d'aller voir ailleurs, je veux être ton esclave". Une forte excitation nous envahit et nous montons sans rien nous dire dans la chambre. Je me mets à quatre pattes et elle sort une cravache. Sans sommation, elle me frappe violement les fesses à plusieurs reprises. Je serre les dents, une douleur envahit mon postérieur et je n'ose pas l'arrêter de peur qu'elle ne veuille plus recommencer un jour. HA! C'est ce que tu veux... TIENS, TIENS, TIENS, ces mots accompagnent chaque coup de cravache. La douleur fût encore plus forte quand elle arrêta de frapper de sa main lourde. J'avais la sensation d'être assis sur de la braise. Elle desserra ma ceinture et baissa mon pantalon. Elle poussa un cri de surprise en voyant les marques rouges légèrement violacées laissées par son travail. "Mais je croyais que tu n'avais pas mal, donc je ne me suis pas arrêtée". Elle m'avoua plus tard que ce qui l'excitait était de m'entendre gindre de douleur.

    Je lui ai demandé si je pouvais me lever. Elle acquiessa et me dit : "baise moi". Je passais la main dans sa culotte et constata que cet épisode l'avait énormément éxcité au point qu'elle était toute mouillée. Je l'ai positionnée en levrette sur le lit, lui ai baissé son jean et l'ai prise fougueusement pour venir en elle rapidement dans un râle de bonheur mutuel.

    Depuis ce jour, je n'ai qu'une idée en tête : Quand vais-je prendre ma prochaine correction?

    Sébastien - Les dessous chics 

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  • Je m'enferme dans un petit lieu et remonte ma jupe droite jusque mes fesses, me voilà en dessous dentelle, bas résilles et talons, au lieu de reprendre mes esprits mon intérieur me demande un peu de volupté et je me surprends à passer une main timide sous la dentelle. j'y découvre une chaleur intense et une humidité rarement égalés, je pose un doigt délicat sur les lèvres qui ne demandent que ça, le bouton précieux est déjà bien alerte et ne demande qu'à s'exprimer...

     je me caresse doucement, puis un peu plus fort, au fur et à mesure de mes caresses tout mon corps se mets en alerte, mes reins se cambrent, mes seins, pourtant petits, se gonflent et se durcissent de plaisir, la musique allant fort je peux laisser échapper des soupirs de plaisirs...

     J'imagine que ces doigts qui entrent en moi sont les tiens... Je me surprends à aller en moi de plus en plus loin et de plus en plus fort et je décuple le plaisir en ajoutant au fur et à mesure un doigt supplémentaire...

     Mon corps s'extasie de ce moment de plaisir solitaire et m'apporte, après quelques minutes intenses, un calme relatif...

    http://blog.nrj.fr/arnalito

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