• clémentine célarié

    Un samedi de la fin du mois de juin, elle se présente à moi dans une tenue légère, jupe plissée courte colorée comme le début de cet été très chaud. Son haut en coton léger laisse pointé deux tétons gorgés de désir, deux appels aux vices. Campée sur des escarpins avec des talons de taille raisonnable, elle se dresse dedans sur la pointe des pieds et tourne sur elle-même. La robe réagit comme un parapluie que l'on ouvre, laissant deviner qu'elle ne porte aucunement un dessous. Elle me lève de mon fauteuil par la cravate, se retourne et passe sa main, tirant l'accessoire ,au dessus de son épaule. Elle m'amène ainsi dans la cuisine se trouvant derrière la réception de l'hôtel. D'un petit bon, elle pose ses fesses sur le marbre de la chambre froide sans lâcher sa proie. Ceci ne la refroidi pas pour autant et elle lâche d'un air torride en étranglant le réceptionniste :

    - BOUFFE MOI LA CHATTE!

    Elle enfonce ses talons dans le creux des épaules de l'homme qui tombe à genoux devant un sexe baveux de plaisir qu'elle fait apparaître en soulevant sa jupe.

    - Mais je ne veux pas... Si des clients arrivent, ils pourraient nous surprendre!

    - JE M'EN FOU, je suis trop excitée, dit elle en plaquant la tête du soumis entre ses cuisses. Je te dis de me bouffer la chatte.

    Le visage de l'homme est, en quelques secondes, recouvert de la mouille abondante de la jolie femme en train de vivre le remake d'un été meurtrier. Tout le visage de l'homme est mit à contribution, elle lui tire ses cheveux, habituellement parfaitement plaqués en arrière, indiquant à son nez l'entrée de son vagin. Elle lâche enfin le garrot du cou et plaque sa main sur la nuque de l'homme pour lui forcer sa bouche entre ses fesses.

    - Sors ta langue et fourre la moi derrière" lui ordonne t-elle.

    Il s'exécute et enfonce sa muqueuse dans le fondement de la belle.

    L'homme est sur le point de se noyer, de s'étouffer de plaisir quand un jet violent d'une fontaine le jeta à terre.

    La femme prise de spasmes et ne pouvant contrôler son corps continua d'arroser le soumis à terre...

     

    - Excusez-moi? Y'a quelqu'un?

    La panique s'empare du réceptionniste, il se relève mais, face à la belle qui pouffe de rire dans ses mains, ils ne peuvent s'empêcher d'éclater de rire.

    - On arrive... On arrive!

    Elle l'aide à se relever, le recoiffe rapidement, remet de l'ordre dans sa cravate, l'embrasse tendrement et lui met une tape sur les fesses comme pour lui dire qu'il peut aller travailler.

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  • un-plat-qui-sonne-comme-une-invitation-erotique-realise-avec-des-ailes-de-poulet-fries-et-des-pommes-frites_123510_w620

    Je mange goulûment ce steak bleu, je me rattrape de cette journée de jeun du à un estomac vrillé par l'intimidation de la veille. Je mords à pleines dents dans ce morceau de boeuf, déchiquetant la matière pour me donner de la force. Pour embraser, pour embrasser de toutes nos forces une autre chair qui attend, las de cette pendule qui n'avance point. Je me calme et je prends le temps d'apprécier un plat quelque peu basique... La viande parfaitement coupé par un couteau à dents de scie découvre une chair d'une couleur d'un mélange de rose et de pourpre rappelant les lèvres du sexe de ma belle. Je mets un morceau dans ma bouche et discrètement, je passe ma langue délicatement dessus...

     

    Plutôt d'un tempérament enflammé, je me surprends à être calme et profitant un maximum de ce moment. J'ignore tout ce qui se passe autour de moi. La chaleur de ma bouche ajoutée au sel des légumes réunissent tous les éléments d'un parfait cunnilingus. Même si je n'ai pas d'érection, j'avoue vivre un moment extraordinaire. Le vin de table que je porte à ma bouche fini de mélanger tous mes sens. Jamais un repas ne m'a apporté autant de bonheur. La serveuse me demande si mon plat était à ma convenance. Je la regarde, les yeux brillants, l'air nié et j'acquiesce. La tarte aux pommes que j'ai commandé comme une dédicace est douce, ses fruits fondent dans ma bouche comme son miel dont je veux me délecter. La glace accompagnant ce délicieux dessert me refroidit et me ramène à la réalité... Je ne mangerai plus jamais de la même façon.
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  • lynda-carter--secretaireNous entrons dans la ville chic de la banlieue ouest. Le GPS nous indique le coin d'une rue où se sont agglutinées une quinzaine de voitures. Nous sommes reçus sur le péron de la maison par un homme d'une cinquantaine d'années, cheveux et baccantes grises, tout droit sorti des Fjords et un travesti. Ils nous accueillent chaleureusement et l'idée de serrer la main à cette grande brune gainée d'une robe  noire est ridicule. La bise la mettra en confiance pour une mise en bouche ultérieure. Nous passons par la cuisine de la maison bourgeoise où nous posons bouteille de champagne et gâteau au milieu d'une  table déjà bien garnie par les convives. Certains diront que d'apporter alcool et victuailles fait partie des us et coutumes du libertinage, d'autres diront que c'est ringard ce buffet campagnard, nous, nous considérons cela comme du savoir-vivre. Nous n'arrivons pas les mains vides, que ce soit dans une soirée avec des horizontaux ou avec des verticaux.

    La grande robe noire nous fait la visite des lieux. Elle nous emmène au sous-sol où nous déposons nos manteaux et sac à main de Madame. Au même moment, un quinquagénaire à la queue de cheval tressée se précipite pour se changer. Un signe de courtoisie... Il nous capte à peine... trop pressé de rejoindre la fête qui peut décoller à tout moment. Il revêt un slip paillette et une veste queue de pie au style Louis XIV de couleur bordeaux et dorée. Sa femme, sa cadette de 20 ans, le suit sans broncher. Nous leur emboitons le pas afin de ne pas perdre non plus une miette de ce buffet libertin piquant. Toutes les pièces de la demeure ont été vidées d'objets pouvant être emcombrants. Elles sont vastes et parsemées d'épicuriens habillés de noir pour l'occasion. Au milieu, les organisateurs de la soirée brillent de part leur charisme. L'homme de taille moyenne aux cheveux bruns, pantalon noir et chemise blanche ouverte, enserre le cou de sa belle soumise brune, menue et vêtue simplement d'un string de couleur rouge et d'un percing à chaque sein.

    Ma belle sera la seule de la soirée à avoir osé la touche de couleur rouge sur son corset de dentelle noire. Nous nous faisons la même remarque : Nous sommes dans un film dans lequel les protagonistes ne manquent pas d'aura, de classe. Le scénario semble au premier abord érotique mais nous savons que d'une minute à l'autre le régisseur aura changé d'avis pour un film pornographique. Nous nous présentons et remercions nos hôtes pour leur invitation. Quelques banalités plus tard, Maîtresse Laetitia est attirée par des bruits de fouets provenant du fond de la pièce. Je la suis et nous nous frayons un passage au milieu des voyeurs et nous assistons à une première scène sado-masochiste. Une femme pulpeuse, cheveux longs bruns tombant le long d'une robe fuseau noire, manie avec dextérité deux fouets sur les fesses d'un jeune homme à genoux sur un canapé, pantalon baissé. Maîtresse Laetitia, en cours d'apprentissage, s'approcha de la dominatrice et lui demanda quelques conseils. A l'unisson, elles firent tournoyer leur fouet pour le plus grand plaisir du soumis et de l'assistance. Satisfait de cette première intervention, nous continuâmes notre tour du propriétaire à l'ouïe. Nous sommes attirés par un autre son familier. Nous entrons dans une pièce où plusieurs matelas ont été parsémés. Au fond, sur l'un d'eux, une jolie blonde se fait fesser vigoureusement par un homme. Nous nous approchons et je demande si je peux l'aider dans sa tâche. Le Maître acquiesse. Je commence à pétrir les fesses puis à claquer doucement cet arrière train légèrement rouge. Chacun d'une main, nous nous entraînâmes dans ce jeu, les coups de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés. Le rouge devint vif. La propriétaire de ces fesses à l'origine blanches commençait à vasciller mais elle ne voulait pas abandonner, jusqu'à ce que son ventre se couche. Son maître s'approcha de son oreille : "Tu veux arrêter?". "Non" répondit-elle. Elle remonta sa croupe pour une seconde "chauffe". Ma belle s'occupait de sa bouche et de sa poitrine mais nous constatons rapidement que leur jeu a atteint les limites qui ne sont pas les nôtres.

    De retour dans la pièce principale, une jeune femme brune, coupe au carré, en tailleur noir, chemisier blanc et talons hauts est seule. Ses lunettes mettent la touche finale à une tenue et un comportement d'une secrétaire fraîchement sortie ou prête à entrer dans un fantasmes que les hommes affectionnent particulièrement. Je n'ai aucun mal à la convaincre de nous accompagner dans la pièce matelassée. Nous croisons le jeune soumis que nous entraînons au passage. Nos corps s'emmêleront durant quelques minutes jusqu'à l'orgasme mutuel mais, avouons que dans ce genre de soirée, cela est du ressort du banal.

    S. la secrétaire repris sa place dans le salon. Il ne suffit de quelques secondes pour qu'un étalon la déloge. Alors que ma jolie compagne s'appliquait  à une fellation sur un bel homme d'une quarantaine d'année, les cheveux grisonnants, je demandais à la préposée aux tâches administratives si je pouvais abuser d'elle une seconde fois. "Non, jamais deux fois avec les mêmes personnes dans une soirée". La douche fût froide mais pas au point de nuire à ma libido. Je reste voyeur de ce film qui se déroule devant moi. Le dominateur ayant mis de côté son fouet, pratique maintenant une levrette endiablée. Je tente une seconde approche et la brune décoiffée de plaisir se laisse aller à me prendre en bouche. L'homme derrière elle ne se satisfaisant pas d'une normalité, même en levrette, posa quelques gouttes de lubrifiant sur son préservatif et s'engagea dans l'orifice le plus serré. Elle était tétanisée de plaisir et se concentrait sur son ventre pour que tout se passe sans incident. Je me glissais alors en dessous d'elle entre ses quatre membres et je mis mon sexe dans son vagin abandonné par l'autre membre que je sentais aller et venir dans son rectum. Il ne fallut que quelques instant pour que nous jouissâmes tous ensemble.

    S. repris ses esprits, réajusta sa tenue et avant de reprendre sa place dans le salon avoua à l'assemblée qu'elle venait de vivre intensément sa première double pénétration.

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  • esclave flouSMS : "Pour le méchant petit garçon, tenue chemise cravate et jeans sans caleçon exigé". Le scénario est tracé, je suis un jeune étudiant et madame la proviseur veut me parler.

    Le jeune homme attendait impatient, les mains dans le dos, derrière la porte d'entrée. A peine rentrée, elle se dirige vers lui et le gifle.
    - "Alors, j'ai appris que vous aviez fait des bêtises?"
    - "Oui, Madame la proviseur"
    - "Ici, c'est Maîtresse et tu vas payer pour ça"
    Elle le pris en bouche gouluement tout en enlevant son manteau.
    Elle le tira dans le couloir par sa cravate. Lorsqu'elle entra dans sa chambre suivi de son soumis, elle constata que son coffre dans lequel elle déposait habituellement fouets, cravaches et autres ustensiles, était ouvert. Furieuse, elle tira violemment sur la ceinture de son pantalon. Celle-ci ne céda pas et extrêmement énervée, elle le gifla une nouvelle fois et lui ordanna de baisser son pantalon. Elle desséra la cravate de l'étudiant et lui passa autour des poignets. Elle s'asseya sur le rebord du lit et lui demanda de se mettre à ventre sur ses genoux, ses fesses blanches dans une position humiliante prête à recevoir la punition. La Maîtresse prit son rôle de proviseur à coeur et commença à frapper du plat de la main sans ménagement....
     

    Les fesses étaient bien rouges mais rien ne sortait de sa bouche.

    -"Mais tu es un dur toi, c'est ce que l'on va voir"
    Elle tira sur la cravate et le mit à quatre pattes sur le lit, son arrière train offert. Le fouet en main, elle le fit tourner et claquer sur les fesses sans arrêter le mouvement. Les lanières de cuir amenaient du contraste au rouge de la fessée mais cela ne suffisait pas à l'étudiant.

    -"Je mérite la cravache Maîtresse" dit il tout doucement.

    - "Que dis-tu esclave? J'entends rien, plus fort!"

    -"Je mérite la cravache Maîtresse" dit-il plus fort

    - "Mais tu oses me dire que je te fouette mal?". Elle jeta le fouet et prit la cravache. Les coups tombèrent accompagnés de gémissements de plaisir et de douleur. Des traits violacés commençaient à apparaître mais le soumis ne voulait pas lancé le mot qui arrêterait la séance. Maîtresse Laetitia savait doser ses coups pour que ses soumis prennent un maximum de plaisir aux limites du supportable.

    -"Es-tu propre de l'intérieur comme de l'extérieur méchant garçon?" -"Oui maîtresse". Un filet de lubrifiant coulait déjà le long de son majeur. Elle l'enfonça sans difficulté dans son anus qu'il avait déjà élargi pour le lavement. Un deuxième doigt prit place à côté du majeur, puis un troisième. Elle accéléra le mouvement ce qui amena l'exitation des deux protagonistes au maximum.

    -"Tu vas me baiser maintenant, déshabille moi!" Il se releva face à elle et s'éxécuta soigneusement. Une gifle retenti sur sa joue. -"Plus vite!" Il ôta le chemisier, puis baissa le pantalon du tailleur. Quel ne fut pas sa surprise quand il découvrit la petite culotte complètement trempée de sa maîtresse. Elle se coucha sur le lit et prit le méchant garçon entre ses cuisses pour qu'il la baise violemment. Il ne se fit pas prier et s'appliqua à effectuer des allers-retours vigoureux dans le vagin inondé de la belle. L'orgasme commun vint en peu de temps dans un amalgamme de râles et de spasmes.

    Après avoir reprit ses esprits, elle le repoussa et lui ordonna: "A genoux et avale!" Elle ne bougea pas sa position "jambes écartées, vulve ouverte". Elle pris le méchant garçon par les cheveux et lui posa sa bouche à l'entrée de son vagin dégoulinant. "Avale!" Elle contractait son ventre pour lui faire boire sa semence jusqu'à la dernière goutte. "Tu as fais mouiller ma culotte, tu ne la tâcheras pas de ton sperme". Le tout avalé, elle dirigea la langue du soumis sur son anus afin de parfaire sa toilette. Elle se redressa et tapota sur la joue de l'élève encore à genoux entre ses cuisses.

    -"Si tu as un doute sur ton orientation, n'hésite pas à venir m'en parler".

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  • Aurélie était une très belle jeune femme d'un mètre soixante-quinze aux courbes harmonieuses. Elle aimait porter des tenues légères en été, sentir le vent passer entre ses jambes caresser son intimité. Se prendre pour une petite garce aux yeux des hommes alléchés par son parfum. L'hiver, elle aimait porter des manteaux de fourrures avec pour seuls accessoires un porte-jarretelles et des bas coutures. A 28 ans, elle possédait des seins parfaits n'ayant pas encore subit l'assaut de la bouche d'un nourrisson affamé. Son homme aimait à se délecter de son abricot gorgé de plaisir. C'était un grand brun, sportif et puissant qui n'avait pas de mal à la soulever pour la prendre vigoureusement contre un mur.
    Rendez-vous était pris à la maison de retraite de Creil. Les finances du jeune couple étaient au plus bas et Christophe avait pris la décision de demander une petite aide de son oncle Paul. Cet homme trapu avait travaillé durant des décennies sur des plateformes pétrolières un peu partout dans le monde. A 65 ans, il en imposait encore du haut de ses 1,85m et de ses 100 kg. Un ventre avait pris la place des muscles, mais ses mains démontraient qu'il avait encore de la ressource.
    - Tu devrais mettre un porte-jarretelle et une jupe. Cela penchera en notre faveur quand il devra signer le chèque.
    - Tu crois peut-être que je vais m'abaisser devant ce porc, ce pervers.
    - Si tu veux t'acheter une nouvelle garde-robe, tu peux bien faire un petit effort.
    L'oncle Paul vit le jeune couple traverser le parc dans sa direction. La vue d'Aurélie légèrement vêtue lui rappela de bons, de vieux souvenirs. Il aimait la presser contre lui quand il lui faisait la bise, prétextant son âge avancé et qu'il ne lui ferait plus beaucoup de mal. Elle ne supportait pas son odeur de vieux machin que l'on aurait sorti d'un placard pour sa promenade dominicale. Connaissant le motif de la venue de son neveu, il les pria de le suivre dans sa modeste chambre. Aurélie s'asseyait sur le lit. Après que Christophe eu expliqué de vive voix à son oncle ses problèmes d'argent, Paul sortit son carnet de chèque de son petit bureau devant lequel il était assit. Il annonça la somme de 1000 euros. Le déchirement du papier rompit le silence.
    - Voilà mon grand, dit-il en se levant pour faire face à son neveu resté debout.
    - Merci tonton Paul.
    Christophe se retourna pour rejoindre la porte, mais l'oncle Paul le retint par le bras d'une main ferme.
    - Tu me prends pour un abruti... Tu crois peut-être que tu vas partir comme ça.
    Il se tourna vers Aurélie et sortit son engin mou devant la tête de celle-ci. Les regards du jeune couple se croisèrent, mais vu la surprise aucun mot ne sortit de leur bouche. En revanche, une chose devait entrer dans celle d'Aurélie. L'oncle Paul saisit vigoureusement sa tête d'une de ses grosses mains et plaqua sa bouche contre son pubis.
    - Tu vas me sucer salope.
    Elle se débâta, regarda son mec en lui demandant du regard de stopper cela.
    - Tonton, arrête tes conneries...
    Sans même lui parler, le message était clair : Elle ne fait rien = Tu me redonnes mon chèque.
    Devant le manque de réaction de Christophe, elle comprit qu'elle n'avait pas le choix. Elle prit l'oncle Paul en bouche. Son membre se gonflait progressivement en elle. A chaque coup de rein, il enfonçait sa queue jusqu'à la garde alors qu'elle prenait du volume. Aurélie laissa échapper des larmes. Etait-ce des larmes dû à la tristesse ou du fait que le braquemart de l'oncle frappait sa glote?
    Quand il banda bien dure, il poussa la gamine sur le lit et souleva sa jupe pour le retirer sa petite culotte. Il la porta à son nez et pris une grande bouffée d'air. Elle essaya d'opposer une résistance quand il lui écarta les cuisses, mais elle comprit qu'elle ne pouvait pas lutter. Il s'approcha pour la pénétrer sur le bord du lit quand Christophe lui posa la main sur l'épaule.
    - Tonton, tu vas quand même mettre un préservatif?
    L'oncle Paul se releva, se dirigea vers le bureau, pris son carnet de chèque et après avoir griffonné quelques chiffres, jeta le morceau de papier au visage de son neveu avant de reprendre sa place.
    - Et maintenant avec 10 000 euros, tu fermes ta gueule et tu ne me fais plus chier.
    Christophe regarda le spectacle affligeant, croisant le regard noyé d'Aurélie de temps à autre. L'oncle Paul vint rapidement dans le vagin à peine humide de la soumise. La décharge fût abondante et interminable pour la jeune femme. L'oncle se releva, jeta la petite culotte sur le visage d'Aurélie.
    - Cassez vous!
    Il retint Aurélie par le bras. Et toi, je t'attends la semaine prochaine à la même heure.
    Arrivés chez eux, elle se réfugia sous la douche et y resta un long moment en pleurant, se sentant sale en train de se vider du sperme de ce vieux pervers.
     
    Une semaine plus tard, Aurélie avait remis la même tenue et attendait le retour de Christophe.
    - Tu fais quoi? demanda t-il
    - J'y vais!
    - Tu vas où?
    - Je vais à notre banque.
    - Tu n'es pas obligé de faire cela.
    Elle sortit de l'appartement et Christophe la suivit.
    - Je viens avec toi.
    Il ne voulait pas assister de nouveau à ce spectacle écoeurant et la laissa aller seule dans la chambre du gros dégueulasse. Arrivée dans sa chambre, son dégoût fût multiplié par trois en voyant deux amis grabataires de l'oncle attendrent sagement sur le lit. Ils se levèrent et firent tomber leur pantalon et leur slip sur les chevilles. L'oncle Paul s'approcha d'elle en lui tendant un chèque de 30 000 euros.
    - Je n'ai plus rien à perdre ma belle et toi, tu as tout à y gagner.
    Elle se mit à genoux devant ses cochons pervers et dû lutter longtemps avec ses mains et sa bouche afin d'obtenir des érections correctes de ces vieilles extrémités fripées.
    L'oncle lui ordonna de se coucher sur le lit et après lui avoir arraché sa petite culotte il ouvrit les cuisses de la belle aux bêtes. Elle s'exécuta. Ils se déchargèrent en elle de salves de sperme énormes après quelques va et vient. L'ancien, à peine remis de ses émotions, la releva par la main, lui jeta une nouvelle fois son dessous à la figure et lui indiqua la sortie.
    - A la semaine prochaine, ma belle.
    Arrivée dans la voiture, Christophe se jeta sur elle et quand il mit sa main entre ses cuisses, il sentit qu'une énorme quantité de foutre chaud sortait de sa chatte.
    - Mais quel dégueulasse.
    Elle lui tendit le chèque et il comprit que l'oncle Paul savait rassembler les troupes.
    - Mais quelle pourriture.
    Enervé, il baissa son pantalon, passa au-dessus du levier de vitesse en pivotant sur lui-même pour faire face à Aurélie et se retrouver entre ses cuisses. Malgré son dégoût, cela lui avait provoqué une érection intense. Il pénétra dans ce trou rempli de liquide séminal. Des bruits abjectes accompagnaient les va et vient. Ils vinrent rapidement ensemble dans un cri mélangeant l'orgasme à la haine. Ils restèrent longuement dans cette position avant de retrouver leur esprit. Rentrés chez eux, ils plongèrent dans un bain chaud. Tout ce mélangeait dans leur cerveau; La honte, le dégoût de soi, la jouissance...
    Une semaine plus tard, le couple se rendit à la maison de retraite. Aurélie embrassa tendrement Christophe sur la bouche.
    - A tout à l'heure.
    Elle frappa à la porte de la chambre du vieil oncle. N'ayant pas de réponse, elle entra et découvrit une chambre vide. Elle pensa que l'oncle avait pris ses quartiers ailleurs dans la maison de retraite. Elle interrogea une employée.
    - Excusez-moi, je cherche l'oncle Paul.
    - Vous êtes de sa famille?
    - En quelque sorte, oui.
    - L'oncle Paul est mort jeudi dernier d'un arrêt cardiaque.
    Elle resta stoïque, ne sachant quoi penser. Est-ce que le fait de lui avoir servit de vide-couille aurait été fatale à ce vieux pervers?  Il s'était servit de moi comme son coffre-fort pour y mettre toutes ses économies en liquide.
    Elle se dirigea vers la sortie afin d'annoncer la nouvelle à Christophe quand un, puis deux, puis trois petits vieux la suivirent. Elle sentait les yeux de ces pervers sur ses deux boules qui se frottaient sous sa jupe, ce qui lui provoqua une sensation bizarre. Sous le porche de l'entrée, elle se retourna, les fixa et leur dit :
    - Messieurs, voulez-vous que je mette vos économies au chaud?

     

     

     

     

    Texte écrit d'après le fantasme d'un couple. Ce texte est une fiction et toute ressemblance et patati et patata. Il est toujours bon de rappeler qu'il faut penser à se protéger et protéger les autres.

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